Notre volume annuel de consommation est trois fois plus élevé qu’il ne l’était en 1960.Nous sommes devenus accros à la consommation, et cette addiction n’est quasiment jamais questionnée. Élisabeth Laville n’est pas une « décroissante ». Mais cette diplômée d’HEC, spécialiste du développement durable, nous explique pourquoi la consommation frénétique d’aujourd’hui est un piège. Y a-t-il une alternative ? Oui, et elle est déjà à l’œuvre en France et dans le monde au sein d’entreprises et de villes qui inventent la consommation de demain. Réjouissons-nous : elle nous rendra plus heureux.

 

— Synthèses —

Consommer rend-il heureux ? 

Lire aussi la tribune d’Elisabeth Laville dans l’Express : En finir avec notre addiction à la surconsommation 

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